Musique vietnam : un univers sonore riche et intemporel
La musique vietnamienne est un patrimoine culturel vivant, où se rencontrent en parfaite harmonie traditions ancestrales et créations contemporaines. Façonné par une histoire millénaire et la richesse de 54 ethnies minoritaires, ce paysage sonore séduit autant les Vietnamiens que les mélomanes du monde entier. Des mélodies envoûtantes du folklore ancien aux rythmes vibrants de la pop actuelle, le parcours musical du Vietnam reflète le passage du temps dans une alchimie subtile entre héritage et modernité.
1. Histoire de la musique vietnamienne
La musique vietnamienne a une histoire millénaire et est influencée par diverses cultures. Dès la préhistoire, des instruments rudimentaires témoignent de l'importance de la musique dans les rituels, les cérémonies et les contes oraux des premières sociétés.
Sous la domination chinoise (dynasties Han et Tang), le confucianisme et la culture chinoise ont influencé la musique vietnamienne. Des ensembles d'origine chinoise sont introduits à la cour, jetant les fondations de la musique classique vietnamienne, associée aux rituels confucéens.
.jpg)
XVe–XIXe siècles, sous les dynasties Lê et Nguyên, la musique de cour Nhã Nhạc (Musique royale de Hué) atteint son apogée. Cet art élégant, combinant musique rituelle et danses de cour, incarnait le prestige et le raffinement de l'aristocratie. Parallèlement, la musique populaire s'épanouit à travers le pays, du Nord montagneux au delta du Mékong, chantant l'amour, le travail, la nature et la vie quotidienne.
.jpg)
Après 1975, la musique vietnamienne s'est internationalisée L'ouverture du pays à la fin des années 1980 permit l'éclosion de nouveaux genres influencés par les tendances mondiales. Plusieurs artistes de la diaspora ont aussi participé à l'animation de la musique contemporaine Aujourd'hui, la musique vietnamienne s'enrichit d'apports asiatiques, européens, américains, africains, dans un dialogue culturel permanent.
Avec son histoire riche et variée, la musique vietnamienne demeure un emblème d'identité et de fierté, reliant un passé ancestral à un présent dynamique et tourné vers l'avenir.
.jpg)
2. Les genres musicaux traditionnels vietnamiens
La musique vietnamienne est enrichie d'une variété de genres traditionnels qui reflètent le riche patrimoine culturel et la diversité régionale du pays. Ces genres ont été transmis de génération en génération et occupent une place profonde dans la vie des Vietnamiens. Voici un tour d'horizon des plus emblématiques :
2.1. Cải lương
Le Cải Lương est un genre musical traditionnel originaire du Sud du Vietnam, célèbre pour ses performances théâtrales vibrantes. Il combine des éléments de musique folklorique traditionnelle, de musique classique et d'influences modernes. Les thèmes portent souvent sur l'amour, la famille et les questions sociales. Les instruments traditionnels utilisés incluent le đàn nguyệt (luth en forme de lune) et le đàn tranh (cithare).
.jpg)
2.2. Đờn ca tài tử
Le Đờn Ca Tài Tử est un genre populaire originaire de la région du Delta du Mékong. Il se caractérise par un chant improvisé et émouvant accompagné d'instruments comme la cithare, le đàn nhị (violon à deux cordes) et le đàn bầu (monocorde). Il dépeint la beauté de la campagne du Sud et évoque les sentiments des habitants locaux.
.jpg)
2.3. Musique royale de Hué
En tant qu'ancienne capitale impériale, Hué possède un genre distinct : la Musique Royale de Hué. Cette forme d'art raffinée et élégante est marquée par une orchestration méticuleuse. Les instruments incluent la cithare, le monocorde, le luth en forme de lune et divers percussions comme des tambours et des gongs.
.jpg)
2.4. Hò et Lý
Le Hò est un chant populaire lié aux travaux collectifs, notamment dans les régions centrales et méridionales du Vietnam. Rythmé et énergique, il accompagne les gestes des bateliers, des paysans ou des ouvriers et favorise l’entraide. Le Lý, plus mélodieux et poétique, s’est développé surtout dans le Sud. Ses mélodies simples et fluides évoquent la nature, l’amour ou la vie quotidienne. Ces deux formes vocales, transmises oralement, occupent une place importante dans le patrimoine musical vietnamien.
2.5. Chầu văn
Le Chầu Văn est un genre rituel unique, associé aux pratiques spirituelles traditionnelles, particulièrement dans le Nord. Il mélange chant, incantation et musique instrumentale, souvent joué lors de cérémonies religieuses. L'instrument principal est le luth en forme de lune.
2.6. Chèo
Le Chèo est une forme d'opéra vietnamien enracinée dans la musique folklorique traditionnelle. Il combine chant, danse et narration, mettant en lumière des thèmes issus de légendes et d'histoires vietnamiennes. Les instruments incluent le luth en forme de lune, la cithare et divers percussions.
2.7. Ca trù
Le Ca Trù est une musique de chambre ancienne et unique originaire du Nord du Vietnam. Il se distingue par un chant poétique stylisé, accompagné d'un trio d'instruments : le đàn đáy (luth à long manche), le phách (claquettes en bois) et le trống châu (tambour cylindrique).
2.8. Tuồng
Le Tuồng est un genre classique datant du XIIe siècle. Il combine chant, danse et acting, dépeignant des contes historiques ou légendaires. Les instruments incluent la cithare, le luth en forme de lune et des percussions variées.
2.9. Xẩm
Le Xẩm est un genre folklorique traditionnel originaire du Nord, avec des performances de rue impliquant du chant accompagné d'un violon à deux cordes et d'une cithare.
Hà Thị Cầu, une artiste légendaire du chant xẩm
2.10. Quan họ
Le Quan Họ est un genre de chants folkloriques originaires de la province de Bắc Ninh dans le Nord. Il implique un chant antiphonal entre chanteurs masculins et féminins, accompagné d'instruments comme le luth en forme de lune et le đàn tam (luth à trois cordes). Les chansons célèbrent l'amour, l'amitié et la beauté de la nature.
3. Les instruments de musique traditionnels
Les instruments de musique traditionnels vietnamiens constituent un patrimoine inestimable, façonné et enrichi au fil des siècles. Leur apparence peut sembler simple, mais leur maîtrise exige des années de pratique et une grande finesse. Si vous vous intéressez à l’histoire et à la culture musicale du Vietnam, voici un aperçu des instruments emblématiques.
Instruments à cordes
- Đàn tranh : Cithare vietnamienne à cordes pincées, reconnaissable à sa forme légèrement courbée. La caisse de résonance est composée d’une plaque bombée sur le dessus, d’une plaque plate en dessous et de six pièces latérales. Des chevalets mobiles soutiennent les cordes métalliques de tailles différentes, accordées sur une gamme pentatonique. On pince les cordes à l’aide de médiators en métal, en plastique ou en écaille de tortue.
- Đàn bầu : Cet instrument monocorde, d’une simplicité apparente, est pourtant capable de produire une étonnante richesse de sons et d’émotions. Il touche profondément l’auditeur grâce à ses nuances expressives. Sa conception rustique, dotée d’une seule corde tendue, confère à la musique vietnamienne une originalité et un charme uniques.
- Đàn nguyệt : Littéralement « luth en forme de lune », il occupe une place essentielle dans la musique populaire comme dans les arts royaux. Son timbre clair et plein permet d’accompagner aussi bien des chants émouvants que des opéras raffinés, mais aussi des rituels funéraires ou cérémoniels. Il peut être joué en solo ou en accompagnement.
- Đàn nhị : Instrument à deux cordes frottées, dont le corps en bois est recouvert de peau de serpent ou de python. Son archet est fabriqué en bois ou en bambou, garni de crin de cheval. Sans frettes, le manche offre une grande liberté d’interprétation. L’exécution demande une grande virtuosité avec des techniques comme le vibrato, le legato, le staccato, les trilles ou encore les glissandi.
.jpg)
Instruments à vent
- Kèn bầu : Trompette traditionnelle, utilisée lors des mariages, funérailles, fêtes et cérémonies, en particulier dans le Nhã Nhạc (musique de cour). Le son puissant, aigu et pénétrant de cet instrument reflète toute une palette d’émotions, allant de la joie éclatante à la mélancolie profonde.
- Sáo trúc : Flûte en bambou dotée d’un trou d’embouchure ovale et de six trous de jeu permettant de varier les sons. En modulant le souffle, l’interprète obtient une grande diversité de nuances. Cet instrument polyvalent se retrouve aussi bien dans les solos que dans les orchestres et les arts traditionnels.
Solo de kèn bầu et orchestre
Instruments de percussion
- Cồng Chiêng : Gong en alliage de cuivre (parfois enrichi d’or, d’argent ou de cuivre noir), de dimensions variables, allant de 20 cm à plus d’un mètre de diamètre. Considéré comme sacré, il joue un rôle central dans les rituels : sacrifices, funérailles, mariages, fêtes du Nouvel An, festivals du riz nouveau et autres cérémonies agricoles.
- T’rưng : Instrument typique des ethnies des Hauts Plateaux du Centre. Il est constitué de plusieurs tubes de bambou disposés horizontalement, l’un fermé à une extrémité, l’autre ouvert. Autrefois limité à cinq ou six tuyaux, il peut aujourd’hui en compter neuf ou dix. Le musicien frappe les tubes avec deux baguettes en bambou ou en bois, produisant des sonorités légères et naturelles qui rappellent le souffle de la forêt. Jadis, le T’rưng servait à se détendre après le travail ou à éloigner les animaux sauvages des cultures. Aujourd’hui, il est reconnu dans le monde entier pour ses mélodies vibrantes et poétiques.
.jpg)
4. L’ère moderne de la musique vietnamienne
À partir des années 1960, la musique vietnamienne entre dans une nouvelle phase, marquée par des influences croisées entre traditions locales et courants internationaux. Cette époque voit émerger des compositeurs et chanteurs emblématiques qui vont profondément marquer la mémoire collective.
La musique rouge
La « musique rouge » désigne la musique révolutionnaire, apparue dès le début du XXe siècle pour promouvoir l’indépendance, l’esprit patriotique et le socialisme. Pendant la guerre du Vietnam, elle est encouragée et largement diffusée au Nord pour renforcer l’unité nationale et motiver le peuple dans la lutte contre les forces du Sud et leurs alliés. Des compositeurs tels que Lưu Hữu Phước (auteur de nombreux chants révolutionnaires) et Văn Cao (compositeur de l’hymne national Tiến Quân Ca) sont devenus de véritables symboles de ce courant.
La musique rouge vietnamienne, héroïque et profondément marquée par l’esprit de la résistance et l’héritage de Hô Chi Minh
La musique jaune
La « musique jaune » (nhạc vàng) est un courant né dans les années 1960, marqué par des mélodies mélancoliques et régulières, inspirées du boléro, du cha-cha-cha ou de la rumba. Elle se distingue par des paroles simples, accessibles, souvent imprégnées de nostalgie, d’amour ou de la vie quotidienne des classes populaires. Malgré une période de censure après 1975, ce répertoire sentimental et romantique reste profondément ancré dans la culture vietnamienne. Des artistes comme Chế Linh, Thanh Tuyền ou Giao Linh en sont devenus des figures emblématiques.
Le boléro vietnamien
Le boléro n’est pas un genre indépendant mais l’une des formes les plus représentatives de la musique jaune. Adapté du modèle latino-américain, il a pris au Vietnam une allure plus lente et plus intime, empreinte d’influences folkloriques. Ses mélodies faciles à retenir et ses paroles empreintes de philosophie simple en ont fait un style indémodable. De nombreux compositeurs, dont Lam Phương ou Trúc Phương, l’ont popularisé, et des chanteurs tels que Giao Linh ou Như Quỳnh continuent de le porter aussi bien au Vietnam que dans la diaspora.
La musique d’outre-mer
Après la chute de Saïgon en 1975, une grande vague d’artistes vietnamiens a émigré, principalement aux États-Unis, en France et dans d’autres pays occidentaux. Cette diaspora a donné naissance à une scène musicale très riche, connue sous le nom de Nhạc Hải Ngoại. Les maisons de production comme Thúy Nga Productions (avec la célèbre série de spectacles Paris by Night) ont joué un rôle central dans la diffusion de cette musique. On y retrouve à la fois des genres traditionnels, des reprises de nhạc vàng et de boléro, mais aussi des influences modernes intégrant la pop internationale. Cette musique a permis aux Vietnamiens expatriés de conserver un lien fort avec leur culture et a contribué à faire connaître la musique vietnamienne à un public plus large.
Bon à savoir
La musique de Trịnh Công Sơn: Parmi les figures incontournables, Trịnh Công Sơn occupe une place singulière. Auteur-compositeur prolifique, il est souvent surnommé le Bob Dylan du Vietnam. Ses chansons poétiques, empreintes de mélancolie et de philosophie, traitent de l’amour, de la condition humaine et de la paix en temps de guerre. Sa musique, à la fois profondément vietnamienne et ouverte aux harmonies occidentales, a touché plusieurs générations et continue encore aujourd’hui à influencer les artistes contemporains.
.jpg)
5. Quelle musique est populaire au Vietnam aujourd’hui ?
La musique vietnamienne actuelle reflète un paysage sonore d’une grande diversité, mêlant productions commerciales, créations indépendantes et expérimentations underground. Chaque courant attire son propre public et contribue à l’effervescence culturelle du pays.
Musique grand public (mainstream)
Les genres dominants restent la pop, les ballades sentimentales et le K-pop vietnamisé, souvent appelés V-pop. Ces chansons, portées par des artistes comme Sơn Tùng M-TP ou Mỹ Tâm, cumulent des millions de vues sur YouTube. On y retrouve aussi des influences de hip-hop, de R&B et de dance-pop, qui séduisent particulièrement les jeunes générations. Les clips sont très travaillés, avec des visuels modernes et des chorégraphies spectaculaires.
Sơn Tùng MTP - une star de premier plan au Vietnam
Musique indépendante (indie)
La scène indie est en pleine expansion, avec des groupes et artistes comme Ngọt ou Vũ. qui expérimentent avec des genres variés : indie rock, folk acoustique, alternative pop, voire des touches de jazz et de soul. Ces musiciens privilégient la diffusion numérique (SoundCloud, Bandcamp, YouTube) et se produisent dans des cafés-concerts ou des festivals alternatifs, attirant un public curieux et cosmopolite.
Thắng, ancien membre du groupe Ngọt (qui signifie “sucré” en vietnamien), se distingue par son style de composition original et une identité musicale unique
Scène underground
À Hanoï et à Hô Chi Minh-Ville, l’underground séduit un public à la recherche de sons innovants. Les genres les plus présents incluent la musique électronique (techno, house, drum and bass), le rap indépendant, le rock expérimental ou encore le metal alternatif. Ces concerts se tiennent souvent dans de petites salles ou des clubs spécialisés, créant une atmosphère intime et énergique.
Suboi, rappeuse vietnamienne, a ouvert la voie aux artistes féminines avec un style énergique et des textes percutants
Bon à savoir:
Un pont entre tradition et modernité Beaucoup de jeunes artistes expérimentent l'incorporation de la musique traditionnelle vietnamienne (comme le đàn tranh, le đàn bầu ou les chants populaires quan họ) dans des morceaux contemporains. Le résultat est un mélange où les rythmes électroniques, pop ou hip-hop se mêlent aux instruments anciens, créant une nouvelle identité sonore qui plaît aux Vietnamiens et aux auditeurs étrangers.
Bắc Bling, une chanson qui mêle musique contemporaine et chants quan họ
Le xẩm fusionné avec l’EDM et le rap, une combinaison totalement inédite et vibrante
6. Profiter la musique vietnamienne pendant votre voyage
- Visiter un musée de la musique traditionnelle : à Hanoï, le Musée d’Ethnographie et le Musée de la Culture vietnamienne conservent une impressionnante collection d’instruments. Vous y découvrez le dan bau (monocorde) ou le sao truc (flûte en bambou), avec des démonstrations sonores qui transportent dans l’univers musical des 54 ethnies. Pour prolonger l’expérience, vous pouvez également assister à un spectacle de marionnettes sur l’eau, un art scénique typiquement vietnamien qui associe musique et légendes populaires.
.jpg)
- Un dîner impérial avec musique de cour à Hue : au bord de la rivière des Parfums, les soirées combinent gastronomie royale et spectacles de Nha nhac, jadis réservé aux empereurs. Costumes, instruments anciens et chants raffinés créent une atmosphère hors du temps. Voir plus: Dîner royal costumé à Hué
.jpg)
- Soirée conviviale en montagne : dans les villages de Sa Pa ou Mai Chau, les habitants accueillent les voyageurs autour d’un feu de bois. Chants, danses en cercle et instruments comme le khen (orgue à bouche en bambou) rythment la soirée. Un moment d’échange chaleureux où l’on partage riz local et rires.
- Gouter au Don Ca Tai Tu dans le delta du Mekong : à Ben Tre, installé sous les cocotiers, vous dégustez des fruits tropicaux en écoutant ce genre musical classé par l’UNESCO. Sons doux, voix mélodieuses et ambiance fluviale composent une expérience typiquement méridionale.
.jpg)
- Assister à de grands festivals : certaines dates offrent des concerts spectaculaires. Le 2 septembre, la fete nationale rassemble des foules immenses et les plus grands chanteurs du pays. A Da Nang, l’été est marqué par le Festival international de feux d’artifice, où la musique s’accorde aux explosions lumineuses au-dessus du fleuve Han.
.jpg)
- Découvrir des concerts intimistes : à Hanoï, Ho Chi Minh-Ville ou Da Lat, de petites scènes accueillent régulièrement des artistes indépendants. Ambiance cosy, créativité musicale et échanges directs avec les musiciens séduisent les voyageurs curieux.
.jpg)
- Plonger dans la vie nocturne : à Bui Vien (Saigon), Ta Hien (Hanoï) ou dans les ruelles du vieux Hoi An, bars et clubs vibrent au son des DJ vietnamiens. Entre electro, hip-hop et influences locales, ces lieux offrent une autre facette de la scène musicale vietnamienne. Lire plus: Vieux quartier de Hanoi : Les 10 meilleures activités à faire !
.jpg)
Nos derniers mots
Nous espérons que cet article vous aura permis de mieux comprendre la richesse et la diversité de la musique vietnamienne, depuis ses racines traditionnelles jusqu’aux expressions contemporaines. Que ces notes vous inspirent lors de votre découverte du Vietnam !
>>>À lire également:
- L’héritage de la culture et de la civilisation française au Vietnam
- Nom de famille Vietnam : Pourquoi tant de Vietnamiens se nomment-ils NGUYEN ?
- Ethnie Vietnam : rencontres avec les tribus vietnamiennes
- Thuoc Lao : Une bouffée magique de la culture millénaire vietnamienne
- Le culte des Déesses Mère au Vietnam


Cơm Tấm : Du riz brisé au symbole culinaire du Sud-Vietnam

Informations générales sur le Vietnam : histoire, culture, plats,...

Jeux folkloriques au Vietnam – Une partie intégrante du patrimoine culturel du pays

Petit déjeuner vietnamien : Top 14 plats à ne pas manquer !

Vovinam : Découvrez le Viet Vo Dao, l'art martial du Vietnam

La saison des pluies au Vietnam : Une aventure véritable à déguster

Trains de luxe au Vietnam : un voyage en toute sophistication

Carte SIM Vietnam pour les touristes : ce qu’il faut savoir

Carte Vietnam, version la plus COMPLÈTE: touristique & géographique

Comment se rendre au Vietnam?

Dormir chez l’habitant au Vietnam : nos conseils pratiques

E-visa Vietnam : Étapes de demande et réponses à vos questions

Quand partir au Vietnam? Saison sèche ou saison des pluies ?

Au cœur du nord du Vietnam 10 jours
De la baie d’Halong à l'île de Phu Quoc 18 jours

Grande traversée de l’Indochine 21 jours

L’essentiel du Vietnam & Laos 15 jours

La beauté cachée du Vietnam & Cambodge 21 jours

Route des patrimoines de l’Indochine 15 jours

Circuit Vietnam 10 jours

Circuit Vietnam 15 jours
Idées de circuit

Au cœur du nord du Vietnam 10 jours
De la baie d’Halong à l'île de Phu Quoc 18 jours

Grande traversée de l’Indochine 21 jours

L’essentiel du Vietnam & Laos 15 jours

La beauté cachée du Vietnam & Cambodge 21 jours

Route des patrimoines de l’Indochine 15 jours

Circuit Vietnam 10 jours
